Deux navires de guerre croisent à quelques encablures du port des Salettes tandis que deux barques de pêche sont à quai. Collection personnelle de D. Bourguignon
Au bas de la place de la République, une diligence stationne devant l’école Jules Ferry. Sur la droite le bar de la gare, le bar populaire et le drapeau du cercle populaire. Collection personnelle de D. Bourguignon
Deux commerces aux Salettes avant la montée de la route vers le Pradon. Pour ceux qui la connaissaient et s’en souviennent, la dame en noir entrant dans la boulangerie était appelée "Tante Colombe". Collection personnelle de D. Bourguignon
Le bâtiment a été détruit et remplacé par "l’Escarelle" où se trouve l’actuelle poste et la bibliothèque municipale. Les palmiers ont fait place au kiosque à musique. A droite, on aperçoit le clocher de l’église. Collection personnelle de D. Bourguignon
Séchage et raccommodage des filets par les pêcheurs. Plusieurs barques à terre attendent d’être réparées ou repeintes avant de reprendre la mer. Deux cabanes de pêcheurs à l’abri des arbres. La plage des Salettes avant le grand Vallat. Au fond, à droite, l’hôtel Coirol. La plage et raccommodage des filets. Collection personnelle de D. Bourguignon
Une fillette puise l’eau dans un puits aujourd’hui disparu. Derrière le palmier, l’ancienne poste et la mairie. La confiserie n’a pas bougé depuis. Collection personnelle de D. Bourguignon
Monsieur Blanc, et son troupeau avenue du Général De Gaulle (1921). La grande bâtisse et les deux maisons qui l’entourent ont été démolies pour le passage de la déviation. Collection personnelle de D. Bourguignon
De gauche à droite, le buffet de la gare, siège actuel de la Police Municipale, les toilettes et le hangar à marchandises. Bien visibles devant, les trois voies avec le quai utilisé par les voyageurs. Collection personnelle de D. Bourguignon
Belle vue sur sa célèbre terrasse. Sur la gauche, derrière les arbres, l’hôtel où Cocteau et Radiguet ont séjourné. Les personnages sont assis sur la passerelle enjambant le grand Vallat et son estuaire.
Carte postale : collection personnelle de D.Bourguignon
La vue est prise dos à la mer. Les deux eucalyptus ont dû geler pendant l’hiver 1929. Quant à la maison située entre eux, elle a été détruite durant la Seconde Guerre mondiale. Côté droit, il a fallu faire place nette pour agrandir la route qui deviendra l’avenue du Général De Gaulle.
Carte postale : collection personnelle de D.Bourguignon
Le pont enjambe le grand Vallat. On devine au loin le quartier de la Trélette, dominé par le Mont Paradis. Les grilles, à gauche, appartiennent à la propriété des frères Jahandiez.
Carte postale : collection personnelle de D.Bourguignon
Les petites maisons ont été détruites par l’Occupant au premier trimestre 1944. La maison à étages avec son débit de tabac a été démolie lors de l’élargissement de la route : nous sommes avenue du Général De Gaulle. Carte postale : collection personnelle de D.Bourguignon